Il y a des jours qui ne sont pas que des dates…
Des jours qui réveillent les cœurs ,
Qui chatouillent la mémoire ,
Et parfois, ébranlent les certitudes .

La Fête des Pères est de ceux-là.

Pour certains, elle évoque un sourire, une étreinte,
Un homme fort ou doux … parfois les deux à la fois.
Pour d’autres, elle remue l’absence, les silences, les blessures non dites .

Et pour beaucoup, elle soulève une grande question :
Qu’est-ce qu’être père ?

Être père, ce n’est pas juste donner un nom.
C’est être là, dans l’ombre, témoin de nos premiers pas ,
De nos doutes , de nos rêves parfois fous .
C’est aimer souvent dans le silence…

Un amour discret, mais puissant .
Celui qui ne dit pas toujours « je t’aime » avec des mots,
Mais qui est là, dans les regards, les gestes, les présences rassurantes .

Dans le langage du cœur, il y a :

• des pères biologiques,
• des pères de cœur,
• des figures d’âme .

Et tous, à leur manière, nous enseignent quelque chose sur l’amour et le courage .

Et si aujourd’hui, au lieu d’un cadeau,
Tu offrais ta présence ?
Un regard sincère ,
Une main posée ,
Un « merci »
Ou même… un pardon .

Et si tu es toi-même un père qui doute parfois de bien faire…
Souviens-toi :
L’amour n’a pas besoin d’être parfait.
Il a juste besoin d’être vrai.

Alors, à tous les pères :
Visibles ou invisibles,
Présents ou absents,
Aux cœurs pleins ou blessés…

Merci.
Merci d’avoir aimé comme vous avez pu .

Et toi, lecteur ou lectrice de ces mots,
Je t’invite à déposer dans ton cœur un mot doux ,
Un mot libérateur…
Parce que tu as le pouvoir de transformer ce que tu as reçu — ou pas —
En quelque chose de beau .